Que signifie donc cette quasi absence à Bruxelles ? Est-ce dû à sa démographie particulière ? Est-ce l’organisation du secteur en alphabétisation qui passerait à côté des besoins spécifiques de ce public ? Qu’est-ce qui l’arrête quand il voudrait s’en sortir en écriture et lecture ? Où est-il ?…
Par Aurélie Akerman et Hélène Marcelle, de Lire et Écrire Bruxelles.
Paru dans la revue L’Observatoire du mois de juin 2010.