Leurs difficultés s’expliquent par de multiples facteurs qui vont de leur mise en marge des espaces de participation et de communication en tant que femmes, étrangères, non alphabétisées, pauvres et âgées (moyenne d’âge de 64 ans) à une véritable mutation structurelle actuelle du logement à Molenbeek, et dans la Région bruxelloise, qui tend à priver progressivement les personnes les plus pauvres de leur droit à la ville.
Cette recherche est présentée via trois supports : un carnet de traces, une banderole brodée présentée dans un livret et un document qui reprend les réflexions et questionnements de la chercheuse-formatrice.
Ce triptyque montre comment une recherche-action participative peut favoriser la puissance d’agir des femmes, mais fait également le constat de ses limites face aux politiques de logement et d’aménagement actuelles.
Le carnet de traces :
Le livret présentant la banderole brodée :
Le document qui reprend les réflexions et questionnements de la chercheuse-formatrice :
Réalisation : Jacqueline Michaux (Lire et Écrire Bruxelles) et un groupe d’apprenantes en alphabétisation de l’asbl La Rue.