Face à cela, comment éviter de limiter les processus d’accueil à des entretiens purement centrés sur des formalités administratives, pouvant s’apparenter à du contrôle ? Comment ne pas réduire les personnes à un statut ? Comment développer ou repenser nos pratiques en les centrant sur les personnes elles-mêmes, qui sont au cœur du projet de Lire et Écrire, plutôt que sur des données administratives abstraites qui déshumanisent la relation et ne permettent pas de mettre en place un accueil adéquat et de qualité ?
Extrait du Journal de l’alpha no 203, Accueillir, orienter et accompagner, 4e trimestre 2016.