Questions fréquentes
Accueil > Publications > Publications
Lire et Écrire publie :
Filtrer les résultats
(Cliquez sur un élément pour le supprimer.)
Chaque roman a désormais sa fiche pédagogique.
Myriam est aux anges. Nina, son ancienne formatrice, vient de lui proposer un travail de rêve. Un poste de cuisinière dans un restaurant situé au bord d’un lac. Mais lorsqu’elle s’apprête à signer le contrat, le regard de Myriam se fige. Pour obtenir ce poste, il ne suffit pas de savoir cuisiner, il faut aussi savoir nager ! Ce que Myriam n’a jamais appris à faire…
Fabienne est prof de français. Dans l’école où elle enseigne, elle n’a aucun ami. Ses relations avec sa mère sont houleuses. Un jour, son chemin croise celui d’Azad, un joueur de violon des rues venu d’un pays lointain. Une rencontre qui risque bien de tout changer.
Dans ce village qui n’a pas de nom, la vie n’est plus possible. Il n’y a plus d’eau et donc plus de vie possible. Les habitants décident de tout quitter pour partir à la recherche d’un avenir meilleur. Mais la route est longue, la lutte pour la survie amère. Qui pourra s’en sortir ?
« Je vois dans tes yeux que tu es perdu. Je connais ce regard, dit Zara. » « Et que vois-tu dans mon regard ? » « Tes yeux me disent que tu t’en vas. » Oumar regarde ailleurs et ne répond pas.
Un mouvement entre deux immeubles attire l’attention d’Adèle. Elle plisse les yeux, colle son front contre la vitre. L’homme caché dans l’ombre s’avance sur le trottoir. Ses pas font des ronds noirs dans la neige. Il lève la tête vers sa fenêtre. Il porte une écharpe rose autour du cou.
C’est bizarre, maintenant que son père s’est moqué de lui, il a vraiment très envie de savoir ce que c’est, la poésie. Il a aussi très envie que Cathy vienne le voir. Mais peut-être qu’elle ne l’aime plus, maintenant qu’il est un grand bandit.
Sur la banquette arrière, Aïssatou, Andreina et Yasmina sont l’une contre l’autre et parlent sans arrêt. On a donné la place avant à Luisa parce qu’elle est l’aînée. Pour une fois, Luisa a aimé être plus vieille que les autres ; elle n’aurait pas aimé faire la route serrée comme ça. La voiture est vieille, les fauteuils sont en faux cuir, mais c’est confortable. Roland n’a pas mis de cravate aujourd’hui. Il est souriant et tient son volant comme un vrai chauffeur. Il roule un peu trop vite mais Luisa aime bien la vitesse.
Sur la banquise, une cabane en bois. Dedans, cinq chercheurs aux nationalités différentes. Neil, un jeune belge passionné par le ciel vit son plus grand rêve… Jusqu’au jour où des ours, en manque de froid et de nourriture, s’approchent et encerclent la cabane. Un jour, deux jours, trois jours… Comment les chercheurs vont-ils s’en sortir ? Est-ce le réchauffement climatique qui est responsable de cette situation ? Entre doutes et passions, peur et solidarité, les cinq hommes vont devoir prendre une grande décision.
Après le décès de sa femme, Monsieur René s’installe dans un petit appartement à Bruxelles. Il noue, au fil des jours, des contacts avec ses voisins : Naima et sa fille Nisrine, le jeune Ibrahim, madame Verstappen, Ali, Mourad et le chat Petit Noir. Des tartes à la pomme au vol de portefeuille, de balades en camion aux thés à la menthe fraiche, Monsieur André est une histoire de rencontres, d’échanges et de partages sur fond de multiculturalité.
Sur une petite plage de Tahïti, Alizée vient de tuer son mari. Elle se confie à son psychiatre qui la connait depuis qu’elle est petite. Mais le docteur Leblanc lui cache beaucoup de choses. Et il n’est pas le seul : la mère d’Alizée aussi lui ment. Pendant que l’inspecteur Tamaru mène l’enquête, Alizée remonte le fil de ses souvenirs. Sans savoir qu’un homme l’aime secrètement. Et qu’il est prêt à tout pour la sauver.
Laura s’avance sur le petit chemin de pierres qui va jusqu’à la porte d’entrée de la maison. Laura cherche la sonnette pour annoncer à la vieille dame qu’elle est arrivée. Il n’y a pas de sonnette… Elle décide de frapper à la porte.
Plongez au cœur du projet et de la collection : présentation du processus, témoignages des différents acteurs, résumés et extraits sonores des romans…
Bruxelles, 1954. Un enfant de trois ans est repoussé par sa mère, incapable d’être une maman. L’enfant se sent mal, sa Mémé le recueille. Elle est femme d’ouvrage dans une école. La vie de la Mémé n’a pas été facile, elle a dû arrêter l’école à l’âge de huit ans. Pourtant, l’enfant va se construire. Petit à petit. Grâce à la Mémé. Et grâce à Moustache, qui va lui faire découvrir la grandeur de la Nature.
Pendant quelques jours, le chat n’a plus parlé le langage des humains. Plus du tout. J’ai essayé de lui poser des questions, mais il me répondait juste : Miaou. Je me suis dit que j’avais imaginé notre conversation de l’autre soir ou que peut-être j’avais bu trop de bière. Cela m’arrive parfois, surtout ces derniers temps.
Babouchka arrête de tourner dans la casserole. Elle prend un bol de soupe. La grande soupe sera une petite soupe. Elle n’a pas très faim. Elle s’assied et elle rêve de ses garçons. Elle revoit Igor avec ses yeux brillants pleins de vie et Sacha si doux et si gentil avec son frère. Et ça lui réchauffe le cœur. Enfin, un peu.
Ce type l’a bousculé, lui a volé ses lunettes. Et en même temps, il a bousculé sa vie. Et ça, c’est insupportable. Insupportable de ne pas savoir qui est ce type. Pourquoi il a commis cet acte surprenant ? Comment a-t-il fait pour disparaître ? Que va-t-il faire avec ces lunettes…
Pendant que Cédric commençait le montage de la garde-robe, Karine est allée dans la salle de bains. Elle s’est passé un peu d’eau fraîche sur le visage. Elle s’est regardée dans le miroir et a dit : — Il faut profiter du moment présent.
Jean-Marie démarre. Monique regarde sa maison s’éloigner. Elle est heureuse de partir à la mer avec son amoureux, mais triste à cause de ses parents. Pourquoi ne l’aiment-ils pas ? Ils ne le connaissent pas. Hier, il était ivre, mais aujourd’hui il est si charmant, si gentil et tellement attentionné. Elle comprend que Jean-Marie a deux visages.
En attendant d’être servi, Sébastien se met à rêver les yeux fermés face au soleil. Il pense à son rendez-vous avec la téléphoniste. Elle porte un chapeau rouge. À part cela, il ne sait rien d’elle. À sa voix, il pense qu’elle doit avoir quarante ou cinquante ans. Quand il s’est fâché, elle est restée calme. Elle lui a répondu gentiment.
Arnold remonte la rue vers son atelier. Il est inquiet. Il ne veut pas être chassé de la ville. Il ne fait de mal à personne. Il travaille à Cologne depuis dix ans. Son atelier fonctionne bien. Ses clients sont contents. Lui et ses compagnons sont de bons chrétiens. Arnold sait que sa religion est différente de la religion catholique. Il se dit que ce n’est pas important car tout le monde prie le même Dieu. Arnold ne veut pas se laisser faire.
Sept heures et demie. Comme tous les matins, Victor va dans son jardin, à côté de l’arrêt de bus. C’est l’heure où les jeunes filles vont passer pour prendre le bus. Victor habite au carrefour. Les jeunes rejoignent l’arrêt de bus. Ils marchent par deux ou par trois. Victor regarde les jeunes filles. Il cache ses yeux dans l’ombre de sa casquette. Comme ça, elles ne savent pas qu’il les regarde. Ça sent l’été.
Le lendemain matin, quelque chose a changé dans le village. Les voitures passent plus lentement. Des petits groupes de personnes se sont formés. Oh ! Nestor voit bien les sourires moqueurs. Les gens de la maison blanche n’ont pas l’air de trouver ça drôle. Heureusement, Nestor remarque surtout le sourire amusé de Marthe. Son beau sourire rêveur, ce sourire qui n’appartient qu’à elle.
Elle s’endort après quelques kilomètres et je reste éveillé. Je continue à me questionner : pourquoi une jeune fille aussi belle accepte de voyager avec moi ? Je pensais que les gros allaient avec les grosses et que les maigres restaient ensemble. J’ai toujours vu les belles avec les beaux. Nous, nous sommes loin d’être les mêmes.
Nicolas sort du train. Le soleil est là pour l’accueillir. Il marche sur le quai. Le ciel est bleu. La lumière est belle. Ses examens sont terminés. Ses études sont finies. Il revient chez lui, chez ses parents, avec son diplôme. Il a obtenu d’excellents résultats. Il est parmi les trois meilleurs. Mais il n’est pas heureux.
Anna entend un air d’accordéon. Elle se lève à demi de son siège. Du fond du wagon, elle voit venir son ami. Elle a pensé « ami » alors qu’elle le connaît si peu. Lui a reconnu Anna. Il s’attarde près d’elle. Il joue pour elle seule. Anna ferme les yeux. On dirait que sa fatigue est moins pesante.
Un matin de printemps, Claire entre dans sa chambre. Elle se regarde dans le miroir. Elle reste un long moment sans bouger. Un rayon de soleil entre par la fenêtre. Elle regarde la femme qui se trouve devant elle. Elle dit : — Qu’est-ce qui est arrivé, Claire ? Elle attend la réponse, mais rien ne vient. Elle dit encore : — Tu ne t’attendais pas à ça, n’est-ce pas ?
Il est tard. Il fait noir et la neige continue à tomber. Julie ferme les rideaux et monte se coucher. C’est alors que quelqu’un sonne à la porte. Julie se dépêche d’ouvrir : quand on vous dérange si tard, d’habitude, c’est pour annoncer une mauvaise nouvelle. Mais ce n’est pas une mauvaise nouvelle. C’est Paul, l’instituteur. Il est tout essoufflé. Il dit : — Laisse-moi entrer, Julie, j’ai une idée formidable.
Nicolas et Isabelle repartent. Tonio regarde la voiture s’éloigner. Il fait signe longtemps. Quand il ne voit plus la voiture, il rentre. Le silence lui tombe dessus. Plus fort que le jour de l’enterrement. Tonio met un CD à fond. Il débouche la bouteille de vin. Assis dans son fauteuil, il regarde le canapé.
— Pourquoi cours-tu ? Salomon ne répond pas. Jeanne va sur le sentier. Elle prend le jeune garçon par l’épaule. — Qu’est-ce qui se passe, Salomon ? Salomon a retrouvé sa respiration. Il dit : — Les Allemands veulent entrer chez nous. Papa m’a dit de me sauver. J’ai couru.
Dans la salle d’attente, quelques femmes pleurent. D’autres se tordent les doigts l’air stressé. L’attente est longue. Pas de nouvelles. Des infirmières et des médecins courent dans tous les sens. Aucun d’eux ne s’arrête pour donner des explications.
La collection La Traversée propose des romans courts, écrits par des auteurs belges, offrant aux adultes éloignés de la lecture la possibilité d’accéder au monde des livres et de la littérature. (…)
La collection La Traversée propose des romans courts, écrits par des auteurs belges, offrant aux adultes éloignés de la lecture la possibilité d’accéder au monde des livres et de la littérature.